Maison Franco-japonaise: 日仏会館 Institut français de recherche sur le Japon à la Maison franco-japonaise (Umifre 19, MEAE-CNRS)

Langue:JA / FR


Agenda

juillet 2015

Colloque à l’occasion de l'exposition "Kyôsai le démon de la peinture"

Kyôsai et Conder : la réception internationale de leur œuvre


en japonais sans traduction
samedi 04 juillet 2015 / 14h00-16h30
auditorium
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Josiah Conder《 Kyosai sensei at Nikko, August.5 》1885、Musée Kawanabe Kyôsai

* Inscription close.



Pour célébrer son cinquième anniversaire, le musée Mitsubishi Ichigôkan organise à partir du samedi 27 juin une exposition intitulée Kyôsai ou le « Démon de la peinture » : une star de la seconde moitié du XIXe siècle, et son disciple Conder. Kawanabe Kyôsai (1831-1899) est né à la fin de l'époque d'Edo. À l'âge de 6 ans, il devint l’élève du peintre d’ukiyo-e Utagawa Kuniyoshi, puis entama trois ans plus tard une formation académique auprès de l'école Kanô. Surnommé « Gaki » (le « démon de la peinture »), il rencontra un succès considérable de son vivant. L’architecte anglais Josiah Conder (1852-1920), qui conçut notamment le tout premier bâtiment de l’entreprise Mitsubishi qui abrite aujourd’hui le musée Ichigôkan, avait été invité au Japon en 1877 par le gouvernement. Son œuvre eut un impact très important sur l’architecture moderne japonaise. Amateur d'art japonais, il étudia aussi la peinture sous la direction de Kyôsai et introduisit l’œuvre de son maître à l’étranger.
Ce colloque international, centré sur la relation entre Kyôsai et Conder, vise à examiner la réception internationale de l’œuvre de Kyôsai (qui a débuté par la France et l’Angleterre), et à approfondir la connaissance de ces deux créateurs.

Modérateur : Christophe MARQUET (UMIFRE 19 - MFJ)
Introduction: TAKAHASHI Akiya (musée Mitsubishi ichigôkan)
Intervenants : NOGUCHI Reiichi (musée Mitsubishi ichigôkan), YAMAGUCHI Seiichi (pr. émérite, univ. de Saitama), KAWANABE Kusumi (musée Kawanabe Kyôsai), OIKAWA Shigeru (pr. émérite, univ. Nihon joshi), Timon SCREECH (SOAS)

Tarif : 1000 yens
Tarif réduit : 500 yens pour les membres des sociétés apportant leur concours, gratuit pour les membres de la MFJ et les étudiants (sur présentation de leur carte) 
Organisation : Musée Mitsubishi Ichigôkan, Bureau français de la MFJ
Collaboration : Musée Kawanabe Kyôsai
Concours : Société d’étude de l’art de Meiji, Société d’étude du japonisme
Lien vers l'exposition: http://mimt.jp/kyosai/


Christophe Marquet, directeur du Bureau français de la Maison franco-japonaise, donnera une conférence sur "Kawanabe Kyôsai : un peintre satirique de Meiji, admiré en France" (en japonais) à l'université Jôsai le vendredi 17 juillet à 11h10.
Inscription obligatoire.

Informations sur la conférence (en japonais uniquement).

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* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

Colloque commémoratif de la 20e édition du Prix Konishi de la Traduction littéraire

Le Japon et la France : l'avenir de la littérature en traduction

[ Colloque ]

samedi 11 juillet 2015 / 14h00 - 18h00
auditorium
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* Inscription close.




Le Prix Konishi de la Traduction littéraire, depuis sa création en décembre 1993, récompense les efforts des traducteurs japonais et français, contribuant à la promotion des échanges culturels entre le Japon et la France en favorisant les traductions entre les deux pays. Ce colloque, qui commémore sa 20e édition, a pour but d’offrir un lieu de débat sur la question de la traduction et ses divers sens et rôles dans le paysage culturel du Japon et de la France, avec la participation d’écrivains, de traducteurs et d’anciens lauréats.   

Intervenants: MIYASHITA Shirô (univ. Hôsô), OGINO Anna (univ. Keiô gijuku), Philippe FOREST (univ. de Nantes), SAWADA Nao (univ. Rikkyô), NOZAKI Kan (univ. de Tokyo), HORIE Toshiyuki (univ. Waseda), Cécile SAKAI (univ. Paris 7), Patrick DE VOS (univ. de Tokyo)

Organisation : Fondation Konishi pour les Échanges Internationaux 
Co-organisation : Fondation MFJ, Bureau français de la MFJ
Concours : Ministère japonais des Affaires étrangères, Ambassade de France au Japon/ Institut français du Japon, Société japonaise de langue et littérature françaises
Collaboration : Librairie Kinokuniya, S.A. Pharmaceutique Nippon Zôki

En japonais sans traduction (sauf une partie)

* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

Le mouvement des Tournesols à Taiwan: géopolitique des deux rives, politique des identités et citoyenneté numérique


avec traduction simultanée
mercredi 15 juillet 2015 / 18h30 - 20h30
auditorium
Stéphane CORCUFF (IAO de Lyon, CEFC Taipei)
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Légende de la photo L’un des très nombreux cartons dessinés pendant les manifestations des tournesols, illustrant la volonté de prise de pouvoir populaire, avec une référence à des hashtags pertinents pour diffuser l’information ou se renseigner sur les réseaux sociaux. Cliché : Stéphane Corcuff, 27 mars 2014, rue Tsingtao (Qingdao) à Taipei.

Si le « mouvement des tournesols » de mars-avril 2014 à Taiwan, qui a conduit à l’occupation du Parlement, est lié aux conditions de négociations du rapprochement avec la Chine, ses causes plus profondes sont à trouver dans l’opposition de la société civile militante au pouvoir, et notamment à l’actuel Président, M. Ma Ying-jeou. A côté de ces dimensions politique et géopolitique se trouve également une question identitaire profonde : le sentiment des manifestants que la République de Chine « vieille école » promue par le Président Ma ne correspond plus en rien à la réalité d’une République insularisée et taiwanaise. Enfin, il est tout aussi remarquable que, comme dans d’autres régions du monde, mais également avec des spécificités propres, les Taiwanais aient copié et innové dans le domaine de l’usage des réseaux sociaux pour produire une mobilisation citoyenne sans précédent mais au soutien populaire contrasté, qui préfigure peut-être, ou représente, un mouvement majeur d’empowerment par une société profondément désabusée par les partis et les institutions à Taiwan.

Profil:
Stéphane Corcuff est maître de conférences à l’Université de Lyon (Institut d’études politiques de Lyon) et chercheur au Centre d’études français sur la Chine contemporaine et à l’Institut d’Asie Orientale.


Discutante:MISAWA Mamie(univ. Nihon)
Modérateur : Arnaud NANTA (CNRS / UMIFRE 19 - MFJ)
Organisation : Bureau français de la MFJ
Collaboration : CEFC Taipei

* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

70 ans après la Seconde Guerre mondiale

Ombres et lumières de la pensée japonaise de l'après-guerre

[ Colloque international ]

avec traduction simultanée
samedi 18 juillet 2015 / 10 h 00 - 18 h 00
auditorium
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* Inscription close.




Au lendemain de la Seconde guerre mondiale, le Japon (sous occupation américaine) engage une série de réformes démocratiques – libre participation des femmes à la vie politique, liberté d’association syndicale, libéralisation de l’éducation, etc. – et fait du démantèlement du shinto d’état, des conglomérats financiers (zaibatsu) et des grands propriétaires terriens qui soutenaient l’absolutisme impérial, une priorité majeure. Dans ce contexte, le monde intellectuel, dominé notamment par les penseurs dits « modernistes » jusqu’au début des années 1960, cherche à analyser les causes de l’ultranationalisme japonais et les conditions d’une démocratisation susceptible d’achever la modernisation jugée incomplète du Japon. Alors que ces analyses critiques de l’idéologie du Japon impérial restent méconnues dans le monde francophone, elles tendent à sombrer dans l’oubli au Japon.
La résurgence de problèmes endémiques (Yasukuni, manuels scolaires, révision de la constitution, etc.) suscite invariablement des vagues d’indignation hors du Japon et les médias reprennent souvent, faute de connaissance, l’idée que ce « Japon » n’aurait pas accompli son devoir de mémoire, confondant les positions de certains politiciens médiatiques à celles de la majeure partie du monde académique et de l’opinion publique.
Lors du colloque de 2008 (La modernisation du Japon revisitée) organisé à la MFJ, Miura Nobutaka faisait encore état de la difficulté d’engager une réelle discussion comparative en raison du manque de références en langue occidentale sur le sujet. Le colloque de 2014 (Traductions France-Japon) réitérait le bilan : malgré une historiographie foisonnante, malgré l’inlassable travail de passeur des traducteurs, les penseurs japonais restent encore grandement méconnus voire inconnus à l’étranger et dans le monde francophone notamment.
En ce sens, ce colloque s’inscrira dans la continuation des travaux initiés par le Groupe de Genève (dir. Pierre-François Souyri) autour de la traduction en français d’essais critiques sur le colonialisme d’avant-guerre (Le Japon colonial (1880-1930). Les voix de la dissension, Les Belles Lettres, 2014) et d’un nouveau volume en préparation sur la critique de l’idéologie impériale par les penseurs de l’après-guerre.
Au Japon, à partir des années 1960, la pensée moderniste perd sa position dominante dans le champ intellectuel, notamment au profit d’approches culturalistes (nihonjinron) inspirées des sciences sociales américaines, et d’une nouvelle gauche post-Anpo, plus radicalisée et révolutionnaire. Les sciences sociales, renouvelées par divers courants post-modernes, proposent dès lors une rupture radicale d’avec les discours modernistes critiqués notamment pour leur parti-pris bourgeois (oubli du prolétariat), leur élitisme (oubli de la masse populaire), leur occidentalisme européocentriste (oubli de l’Asie), leur individualisme moderniste (oubli de la tradition communautaire), ou leur vision négative du Japon (oubli du génie national). Après les tentatives de synthèse de 1959 (戦後日本の思想) et de 1968-74 (戦後日本思想体系), le tournant postmoderne annonce une troisième étape de l’évolution de la pensée d’après-guerre (p.ex. 戦後思想の名著50, 2006). Cependant, le décès de Katô Shûichi en 2008, et de Yoshimoto Takaaki en 2012, marquent l’extinction de deux parmi les dernières voix de la première génération des intellectuels d’après-guerre, qui achève d’en éloigner les nouvelles générations. La pensée d’après-guerre est plus que jamais devenue objet d’histoire.
La rencontre de chercheurs japonais (Narita, Oguma, Karube,…) impliqués dans la compilation d’anthologies et de synthèses sur la pensée d’après-guerre, et de chercheurs francophones œuvrant à la diffusion de la pensée japonaise en Europe, ouvrira ainsi l’espace d’une discussion sur l’intérêt de relire ces auteurs dans le contexte contemporain, en tirant parti des avancées de l’historiographie et des critiques émises à leur encontre par les nouvelles générations.
Le but de ce colloque est donc double : revenir sur quelques-uns des textes fondamentaux de la pensée d’après-guerre (oubliés au Japon, méconnus en Europe) et entamer une réflexion commune sur leur place dans l’héritage intellectuel mondial.
 

Intervenants : Anne BAYARD-SAKAI (INALCO), EBISAKA Takeshi (écrivain), FUKUI Norihiko (univ. Gakushûin), Samuel GUEX (univ. de Genève), KARUBE Tadashi (univ. de Tôkyô), KO Yŏngran (univ. Nihon), Michael LUCKEN (INALCO), MIURA Nobutaka (pr. émérite univ. Chûô), Nicolas MOLLARD (UMIFRE 19 - MFJ ), NAKAJIMA Takeshi (univ. de Hokkaidô), NARITA Ryûichi (univ. Nihon joshi), OGUMA Eiji (univ. Keiô gijuku), PAK Yuha (univ. de Sejong), SHIRAI Satoshi (univ. Kyôto seika), Pierre-François SOUYRI (univ. de Genève), Maya TODESCHINI (univ. de Genève.), UNO Shigeki (univ. de Tôkyô), YAMANOTE Hajime (univ. Keiô gijuku), SATO Izumi (univ. Aoyama gakuin)   

Organisation : Fondation MFJ, Bureau français de la MFJ
Soutien : Seki Memorial foundation for science, Ambassade de Suisse au Japon / Science & Technology Office
Collaboration : Université de Genève, Centre d'études japonaises (INALCO)
Concours : Ambassade de France au Japon / IFJ


* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

70 ans après la Seconde Guerre mondiale

Ombres et lumières de la pensée japonaise de l'après-guerre

[ Colloque international ]

avec traduction simultanée
dimanche 19 juillet 2015 / 10h00 - 18h00
auditorium
2015-07-18-19_Pensee-apres-guerre-1.jpg

* Inscription close.



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Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le Japon (sous occupation américaine) engage une série de réformes démocratiques – libre participation des femmes à la vie politique, liberté d’association syndicale, libéralisation de l’éducation, etc. – et fait du démantèlement du shinto d’état, des conglomérats financiers (zaibatsu) et des grands propriétaires terriens qui soutenaient l’absolutisme impérial, une priorité majeure. Dans ce contexte, le monde intellectuel, dominé notamment par les penseurs dits « modernistes » jusqu’au début des années 1960, cherche à analyser les causes de l’ultranationalisme japonais et les conditions d’une démocratisation susceptible d’achever la modernisation jugée incomplète du Japon. Alors que ces analyses critiques de l’idéologie du Japon impérial restent méconnues dans le monde francophone, elles tendent à sombrer dans l’oubli au Japon.
La résurgence de problèmes endémiques (Yasukuni, manuels scolaires, révision de la constitution, etc.) suscite invariablement des vagues d’indignation hors du Japon et les médias reprennent souvent, faute de connaissance, l’idée que ce « Japon » n’aurait pas accompli son devoir de mémoire, confondant les positions de certains politiciens médiatiques à celles de la majeure partie du monde académique et de l’opinion publique.
Lors du colloque de 2008 (La modernisation du Japon revisitée) organisé à la MFJ, Miura Nobutaka faisait encore état de la difficulté d’engager une réelle discussion comparative en raison du manque de références en langue occidentale sur le sujet. Le colloque de 2014 (Traductions France-Japon) réitérait le bilan : malgré une historiographie foisonnante, malgré l’inlassable travail de passeur des traducteurs, les penseurs japonais restent encore grandement méconnus voire inconnus à l’étranger et dans le monde francophone notamment.
En ce sens, ce colloque s’inscrira dans la continuation des travaux initiés par le Groupe de Genève (dir. Pierre-François Souyri) autour de la traduction en français d’essais critiques sur le colonialisme d’avant-guerre (Le Japon colonial (1880-1930). Les voix de la dissension, Les Belles Lettres, 2014) et d’un nouveau volume en préparation sur la critique de l’idéologie impériale par les penseurs de l’après-guerre.
Au Japon, à partir des années 1960, la pensée moderniste perd sa position dominante dans le champ intellectuel, notamment au profit d’approches culturalistes (nihonjinron) inspirées des sciences sociales américaines, et d’une nouvelle gauche post-Anpo, plus radicalisée et révolutionnaire. Les sciences sociales, renouvelées par divers courants post-modernes, proposent dès lors une rupture radicale d’avec les discours modernistes critiqués notamment pour leur parti-pris bourgeois (oubli du prolétariat), leur élitisme (oubli de la masse populaire), leur occidentalisme européocentriste (oubli de l’Asie), leur individualisme moderniste (oubli de la tradition communautaire), ou leur vision négative du Japon (oubli du génie national). Après les tentatives de synthèse de 1959 (戦後日本の思想) et de 1968-74 (戦後日本思想体系), le tournant postmoderne annonce une troisième étape de l’évolution de la pensée d’après-guerre (p.ex. 戦後思想の名著50, 2006). Cependant, le décès de Katô Shûichi en 2008, et de Yoshimoto Takaaki en 2012, marquent l’extinction de deux parmi les dernières voix de la première génération des intellectuels d’après-guerre, qui achève d’en éloigner les nouvelles générations. La pensée d’après-guerre est plus que jamais devenue objet d’histoire.
La rencontre de chercheurs japonais (Narita, Oguma, Karube,…) impliqués dans la compilation d’anthologies et de synthèses sur la pensée d’après-guerre, et de chercheurs francophones œuvrant à la diffusion de la pensée japonaise en Europe, ouvrira ainsi l’espace d’une discussion sur l’intérêt de relire ces auteurs dans le contexte contemporain, en tirant parti des avancées de l’historiographie et des critiques émises à leur encontre par les nouvelles générations.
Le but de ce colloque est donc double : revenir sur quelques-uns des textes fondamentaux de la pensée d’après-guerre (oubliés au Japon, méconnus en Europe) et entamer une réflexion commune sur leur place dans l’héritage intellectuel mondial.
 

Intervenants : Anne BAYARD-SAKAI (INALCO), EBISAKA Takeshi (écrivain), FUKUI Norihiko (univ. Gakushûin), Samuel GUEX (univ. de Genève), KARUBE Tadashi (univ. de Tôkyô), KO Yŏngran (univ. Nihon), Michael LUCKEN (INALCO), MIURA Nobutaka (pr. émérite univ. Chûô), Nicolas MOLLARD (UMIFRE 19 - MFJ ), NAKAJIMA Takeshi (univ. de Hokkaidô), NARITA Ryûichi (univ. Nihon joshi), OGUMA Eiji (univ. Keiô gijuku), PAK Yuha (univ. de Sejong), SHIRAI Satoshi (univ. Kyôto seika), Pierre-François SOUYRI (univ. de Genève), Maya TODESCHINI (univ. de Genève.), UNO Shigeki (univ. de Tôkyô), SATO Izumi (univ. Aoyama gakuin), YAMANOTE Hajime (univ. Keiô gijuku)   

Organisation : Fondation MFJ, Bureau français de la MFJ
Soutien : Seki Memorial foundation for science, Ambassade de Suisse au Japon / Science & Technology Office
Collaboration : Université de Genève, Centre d'études japonaises (INALCO)
Concours : Ambassade de France au Japon / IFJ


* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

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