Maison Franco-japonaise: 日仏会館 Institut français de recherche sur le Japon à la Maison franco-japonaise (Umifre 19, MEAE-CNRS)

Langue:JA / FR


Agenda

juin 2015

Cycle « Familles contemporaines : le couple en jeu »

Évolutions de la sexualité, genre, égalité

[ Débat ]

avec traduction simultanée
vendredi 05 juin 2015 / 18h30-20h30
auditorium
Michel BOZON (INED), KATÔ Shûichi (univ. Meiji-gakuin)

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En France comme au Japon, il ne se passe pas un jour sans que la question de la famille ne soit, sous un angle ou sous un autre, évoquée par les médias. Qu’on s’en réjouisse ou qu’on le déplore, le modèle de la famille moderne, qui s’est répandu de façon de plus en plus généralisée durant le XXe siècle,  semble mis  à mal. De nouvelles façons de vivre la famille se multiplient, que sociologues et démographes scrutent sans relâche. La famille et ses transformations contemporaines suscitent également de vives réactions dans le monde politique. Pour les gouvernements, agir sur la famille relève à la fois de l’urgence, et de convictions idéologiques fortes. Pour nombre de citoyens, il s’agit d’un combat qui touche à la reconnaissance de valeurs fondamentales.
Le Japon et la France possèdent certes des traditions familiales très différentes ; on sait pourtant qu’elles sont profondément connectées depuis la rédaction du premier code civil japonais. Les questions que les pratiques contemporaines provoquent ne sont pas forcément les mêmes dans nos deux pays. Elles ont pourtant le même fondement : la recherche de plus de justice et d’égalité.
A la Maison franco-japonaise, nous avons décidé d’examiner cette année la famille contemporaine en nous focalisant sur le couple. Trois débats ont été organisés dans cette perspective. Le premier (2 avril) s’est intéressé aux défis que pose au droit la diversité des pratiques contemporaines. Le second (26 mai) aux attentes que suscite le couple. Ce troisième débat se focalisera sur la place de l’amour, les évolutions de la sexualité, et la question de l’égalité.
On rappellera dans un premier temps comment a émergé la notion de sexualité, et quelles sont les disciplines et les institutions qui s’en sont chargées. On décrira plus longuement les transformations des comportements sexuels depuis l’après-guerre, en France comme au Japon. On s’interrogera enfin sur l’impact de ces transformations : les changements dans la sexualité mènent-ils forcément à une plus grande égalité de genre ?
Ce cycle de débats est pensé dans le cadre de la réflexion sur les inégalités (Inégalités : nouveaux regards, nouveaux modèles, nouvelles politiques ? ) organisé par l’Institut français du Japon.

Conférenciers:
Michel BOZON (INED)
KATÔ Shûichi (univ. Meiji-gakuin)

Profil:
Michel Bozon
Anthropologue de formation, Michel Bozon est sociologue, directeur de recherche à l'Institut National d'Etudes Démographiques à Paris.
Il a travaillé, à partir d'enquêtes quantitatives, sur la formation des couples et la famille, puis sur la sociabilité et les loisirs, et enfin sur le passage à l'âge adulte et la jeunesse.
Depuis le début des années 1990, ses recherches se sont orientées d'une part vers la sociologie de la sexualité, à partir d'enquêtes menées en France ou dans les pays latino-américains (notamment le Chili, le Brésil et le Mexique), et d'autre part vers l'étude des rapports de genre. Il a été co-responsable, avec Nathalie Bajos, de l'enquête Contexte de la Sexualité en France, menée en 2006 auprès de plus de 12.000 personnes de 18 à 69 ans.

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KATÔ Shûichi

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Modérateur : Jean-Michel BUTEL (UMIFRE 19 - MFJ)
Organisation : Bureau français de la MFJ, Groupe « Populations japonaises » (CEJ - INALCO)
Soutien : Institut français
Concours: Société franco-japonaise des études sur les femmes

* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

Doit-on se soumettre à la société de la menace ? Doit-on accepter la société du risque ?

La communication sur le risque ou les risques de la communication


en japonais sans traduction
dimanche 14 juin 2015 / 10 h 00 - 18 h 30
auditorium

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Hyônenzu, le poisson chat et la calebasse 2014 ©CécileAsanumaBrice

Voilà deux années que l’on observe la résurgence de la communication sur le risque alors que l’un des plus gros risques engendrés par une activité humaine, s’est concrétisé par la catastrophe de 2011, soit l’explosion de la centrale nucléaire de Fukushima Dai ichi. Par une alchimie rhétorique énigmatique, les risques produits par l’homme et ceux engendrés par la nature ont été fondus en une seule catégorie : LE risque. Réfléchir sur la gestion des causes ne semble pas à l’ordre du jour, et il serait désormais de notre devoir d’admettre que nous vivons dans « la société du risque » pour reprendre le titre de l’ouvrage d’Ulrich Beck, société dans laquelle l’état d’exception menace d’y devenir un état normal. Quel est le rôle de la communication du risque aujourd’hui ? À qui est-elle destinée et dans quel but ? La communication sur le risque est–elle un outil d’information, de protection, d’acceptation, ou d’asservissement?

Intervenants : GOTÔ Shinobu (univ. de Fukushima), KOKUBUN Toshiki (univ. de Fukushima), NAJIMA Yoshinao (univ. du Tôhoku), SHIMAZONO Susumu (univ. Sophia), UKAI Satoshi (univ. Hitotsubashi),HASEGAWA Kôichi(Université du Tohoku), KANDA Yasuko(Université de Kobe), KAGEURA Kyô(Université de Tôkyô), SUZUKI Mari(Happy Island, Kôriyama), CHIBA Yumi (Groupe des mères effectuant le suivi des personnes irradiées lors de la première période), KAMOSHITA Yuya (Association pour la protection du refuge),
Responsable scientifique : Cécile ASANUMA-BRICE (UMIFRE 19–MFJ, Clersé (CNRS, univ. de Lille 1))
Organisation : Bureau français de la MFJ, Clersé (CNRS, univ. de Lille 1) 

Programme en PDF

* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

Séminaire doctoral

[ Séminaire de recherche ]

en français sans traduction
mardi 16 juin 2015 / 18 h - 20 h
salle 601
Maison franco-japonaise
Institut français de recherche sur le Japon UMIFRE 19
Séminaire doctoral

 Ce séminaire mensuel s'adresse principalement aux doctorants francophones en sciences humaines et sociales, mais demeure également ouvert aux étudiants de Master ou autres jeunes chercheurs. Organisé par des étudiants et pour des étudiants, encadré par le directeur et les chercheurs de la Maison franco-japonaise, il s'agit d'un espace dédié à la présentation de travaux de recherche, quel que soit leur stade d'avancement, et de discuter collectivement des problèmes méthodologiques rencontrés tout au long du processus d'élaboration de la thèse.
 Se déroulant sous la forme d'exposés suivis d'un échange avec la salle, le séminaire constitue un entraînement à la prise de parole en public, à la présentation claire et adaptée de son sujet, à la maîtrise des outils logiciels de projection. Les participants de l'auditoire bénéficient quant à eux de l'expérience de leurs collègues et sont conviés à s'interroger sur des questions de méthode qui leur sont propres. Ils profitent, en outre, de connaissances et résultats souvent encore inédits de la recherche sur le Japon.
 Le séminaire doctoral est consacré chaque mois à deux intervenants qui disposent chacun de 30 minutes maximum de présentation orale, puis 30 minutes sont dédiées à la discussion collective.

 N'hésitez pas à faire circuler l'annonce de ce séminaire autour de vous, afin de le faire connaître auprès du plus grand nombre, en particulier des nouveaux arrivants.  Veuillez noter également qu'il est envisageable de prendre en charge les frais de déplacement des doctorants ne résidant pas dans le Kanto dans le cadre d'une intervention au séminaire, dans la limite du budget annuel. Aussi, n'hésitez pas à proposer une intervention et à nous contacter pour de plus amples informations.
 
 Les personnes intéressées par le séminaire sont priées de bien vouloir contacter les coordinateurs du séminaire (contact : doctorantsmfj [ajouter at] gmail.com) 

Nous aurons le plaisir d’écouter les interventions de :

 

Sabine KRAENKER, maître de conférences, Département des Langues Modernes, Université de Helsinki.

 

Les écrits sur le Japon (textes francophones 1964‒2014)

 

Je voudrais examiner dans mon travail les discours écrits par ceux qui ont voyagé ou qui se sont installés ces cinquante dernières années au Japon.

Pourquoi la période des cinquante dernières années ? Parce que le discours des écrivains-voyageurs ou des résidents francophones au Japon est différent de celui de leurs aînés et parce que j’aimerais examiner s’ils ont des caractéristiques communes. Si c’est le cas, cela voudrait dire qu’il y a une certaine manière, contemporaine, de décrire ce pays et que, plus généralement, on peut trouver des constantes concernant la description d’un pays et de ses habitants, mais des constantes qui sont spécifiques à notre période contemporaine et qui diffèrent de celles du passé. 

Il me semble que plusieurs facteurs pourraient influencer ce nouveau terrain discursif :

1)    Le genre du texte

L’hétérogénéité des textes sur le Japon est frappante. Il y a des textes qui sont des récits et ceux qui sont des textes scientifiques. Se pose aussi la question de savoir si le texte littéraire appartient à la fiction, à la littérature intime ou à l’autofiction. Pour les textes scientifiques, est-on face à un texte d’ethnologie/ethnographie, de sociologie, d’anthropologie, d’ethnopsychologie, de littérature de voyage ? En tout état de cause, le genre du texte influence son contenu.

On observe également, dans la production de l’écrivain ou du chercheur, une nette récurrence du lieu. Le Japon réapparaît à de nombreuses reprises et sous diverses formes comme sujet de l’œuvre de l’auteur.

2)    Le nouvel imaginaire : comment peut-on décrire la tension entre la vieille représentation du Japon et l’expérience du Japon ?  On observe une volonté active de rompre avec les vieilles représentations. Le résultat espéré est-il atteint ? Comment ? Quelles en sont les limites ?

3)   Le but du voyage et de l’écriture influence le contenu du discours. Quelle a été la quête de l’écrivain ou du chercheur durant le voyage ? Quelle est la place de la quête d’identité dans ce processus ? La personne a-t-elle voulu se convertir à la nouvelle culture ?

La place des écrivains du corail qui écrivent en français

 

 

Et :

 

Adeline WINTZER, étudiante en master à l’université de Strasbourg

 

 

La participation politique des citoyens japonais

 

Notre objectif est d'examiner la participation des citoyens au système politique japonais, ainsi que le rapport des citoyens à la politique. Cette participation politique peut être institutionnalisée, ou considérée comme légitime. C'est par exemple le cas de la participation aux différentes élections. Mais la participation politique des citoyens peut également s'exercer à travers des modalités non-institutionnalisées, comme les mobilisations, ou le militantisme. À travers la conduite d'entretiens, l'objectif est d'identifier les modalités, les facteurs et les obstacles de la participation politique des citoyens japonais. D'une part, on interrogera le rapport des citoyens japonais au système politique. On considère généralement qu'en France, la participation politique est distribuée selon les ressources culturelles et économiques des individus. Au contraire, au Japon, le capital culturel ne semble pas entraîner un sentiment de légitimité à parler de politique. Comment interpréter ce sentiment assez largement répandu d'incompétence politique auprès des citoyens ? Nous interrogerons la nature technique des débats - notamment avec l'exemple des Abenomics, mais aussi la construction sociale d'élites professionnalisées, dont le point d'aboutissement est la constitution de familles de politiciens que l'on pourrait qualifier de véritables dynasties politiques. Nous nous demanderons également si les citoyens japonais désinvestissent le vote dans un système politique dominé par un seul parti, le Parti Libéral Démocratique. Un autre facteur d'éloignement des citoyens de la participation politique sera interrogé, en observant un autre pôle de la vie démocratique - celui de la « société civile ». On peut se demander quels sont les effets de la construction de discours politiques illégitimes, à travers la perception négative de certaines formes de militantismes. Cette recherche sera également l'occasion d'interroger les liens entre culture et modalités de la participation politique. Dans le cas de la société japonaise, on peut se demander dans quelle mesure les valeurs sociales d'harmonie dans les rapports sociaux et d'humilité des individus, sont conciliables avec les principes de conflits et de compétition entre différentes forces pour l'accès aux fonctions électives. 



* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

Domestic Violence in Japan: How to Deal with the Men who “Choose” Violence?


en anglais sans traduction
vendredi 19 juin 2015 / 12:30-14:00
salle 601
NUMAZAKI Ichirō (Tōhoku University)
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Abstract
In Japan, nearly one third of women have experienced violence in a domestic setting. Yet the problem is far from being widely known. This talk will first present the Japanese situation before exploring how the Battered Women's Movement has struggled to represent various forms of wife abuse as violence at multiple levels of discourse (everyday conversation, media talks, "scientific" explanations, legal texts, etc.). As a concerned academic and activist, the speaker has met a number of victims and survivors of wife abuse. He has served as an expert witness on behalf of abused wives and their children in court. Through these experiences he has become keenly aware of the difficulty of representing violence as violence, and considers that in order to advance the cause of women, wife abuse has to be re-represented as violence, in contrast to conventional and more recent representations of domestic violence as something else.

Profile
Ichirō Numazaki is a cultural anthropologist and professor at Tōhoku University. He specializes in East Asian cultures, human rights and men's issues. He has been actively involved in the Japanese Battered Women's Movement for fifteen years. In 2001 he received basic training in batterer intervention at Emerge: Counseling and Education to Stop Domestic Violence, Cambridge, Massachusetts. He has published widely on the issue of male violence and his short booklet on domestic violence, Why Men Choose Violence, is used at many shelters for battered women across Japan.



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Moderator: Jean-Michel BUTEL (UMIFRE 19-MFJ)
Organization: Bureau français de la MFJ
Co-organization: CCIFJ

* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

Le cinéma de la mémoire : de Shoah au Dernier des injustes

[ Conférence ]

avec traduction simultanée
vendredi 26 juin 2015 / 15 h 00 - 17 h 00
auditorium
Claude LANZMANN (cinéaste et écrivain)
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ANNULATION DE LA CONFÉRENCE DE M. CLAUDE LANZMANN
Nous avons le regret de vous informer que le voyage au Japon de M.Claude Lanzmann est annulé pour raison de santé. La conférence et la projection du vendredi 26 juin sont donc annulées. Nous vous prions de bien vouloir nous en excuser.




Trente ans après sa sortie en salles, le film Shoah (1985) demeure dans le patrimoine mondial, non seulement l’œuvre cinématographique de référence sur le génocide nazi, mais aussi un espace de réflexion pour ceux, historiens ou artistes, qui cherchent à trouver la forme par laquelle peut et doit se dire l’horreur, transmettre la mémoire des désastres, raconter la catastrophe. Bloc éthique dressé contre l’oubli, le visionnage de Shoah demeure cette expérience unique par laquelle le spectateur est appelé à comprendre ce crime sans image qu’est le génocide.
A l'occasion de sa venue exceptionnelle au Japon, Claude Lanzmann revient sur cette oeuvre magistrale, qu'il a prolongée par son film Le Dernier des injustes, présenté hors compétition à Cannes en 2013.


Profil
Claude Lanzmann (né en 1925), réalisateur, journaliste et écrivain, directeur de la revue Les Temps Modernes. Résistant dans sa jeunesse pendant la Seconde Guerre mondiale, aux côtés de Sartre à partir des années 1950, il s'engage contre le colonialisme au moment de la guerre d'Algérie. Il se consacre au cinéma à partir des années 1970 et réalise en 1985 une oeuvre magistrale, Shoah, sur le génocide des juifs, qui sera suivie d'une série de films dédiés à la mémoire du peuple juif.

Modérateur : SAWADA Nao (univ. Rikkyô)
Organisation : Fondation MFJ, Bureau français de la MFJ
Soutien: Ambassade de France au Japon / IFJ, CCI France Japon

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* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

Conférence à l'ocassion de l'exposition Bordeaux, Port de la lune

La Société des Amis des Arts de Bordeaux au XIXe siècle : un âge d'or pour la politique d'acquisitions du musée des Beaux-Arts


en français avec traduction simultanée
samedi 27 juin 2015 / 14h00 - 16h00
auditorium
Sophie BARTHÉLÉMY (Musée des beaux-arts de Bordeaux)
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Photo: Thomas Sanson, Mairie de Bordeaux

* Inscription close.



Le musée national d'art occidental de Tôkyô présentera l'exposition Bordeaux, Port de la Lune à partir du 23 juin 2015. Bénéficiant du soutien exceptionnel de la Ville de Bordeaux et de ses principaux musées, cette exposition abordera l’histoire et l’art de la ville et de sa région depuis la Préhistoire jusqu’à nos jours. A cette occasion, nous avons organisé une conférence présentée par Sophie Barthélémy, directrice du musée des Beaux-Arts, qui évoquera le contexte artistique et culturel du XIXe siècle à travers les activités de la Société des Amis des Arts de Bordeaux. Fondée en 1851, celle-ci compta parmi les plus importantes et actives sociétés artistiques en province, notamment à travers l'organisation de son salon annuel qui permit au musée des Beaux-Arts d'acquérir un grand nombre d'œuvres d'artistes bordelais et parisiens tout au long du XIXe siècle. Elle approfondira notre compréhension sur le rapport entre la bourgeoisie et l'art moderne en France et mettra aussi en lumière la vitalité artistique de la province à travers l'exemple bordelais.

Profil
Sophie BARTHÉLÉMY
Directrice du musée des Beaux-Arts de Bordeaux depuis mai 2014. Commissariat d’expositions au musée des Beaux-Arts de Dijon (conservatrice, en charge des collections de peintures XIXe et de l'art contemporain, de 2001 à mars 2014) : Fauves hongrois 1904-1914. La leçon de Matisse (2009) ; La Sulamite dévoilée. Genèse du Cantique des Cantiques de Gustave Moreau (2011) ; François et Sophie Rude, citoyens de la Liberté. Un couple d'artistes au XIXe siècle (2012-2013)

Modératrice: JINGAOKA Megumi (conservateur en chef du Musée national d'art occidental )
Organisation: Société franco-japonaise d'art et d'archéologie, Bureau français de la MFJ
Soutien: Musée national d'art occidental
 

* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

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