lun.
21
juin
2010
  • Profil :

    Diplômé en Droit des affaires et docteur en sciences économiques, le Professeur Jean-Didier Lecaillon est en poste à l’université Panthéon-Assas dont il est vice président. Il y dirige également un Master « Commerce et Management International ». Il effectue ses recherches pour partie dans le LAboratoire de Recherche en Gestion de Paris 2 (LARGEPA) et pour partie dans l’Institut de Recherche sur la Gouvernance et l’Economie des Institutions (IRGEI) car il est non seulement spécialiste de dynamique économique, d’économie internationale mais aussi de l’économie du capital humain et des populations. Ce sont ses connaissances sur ce dernier domaine qu’il va mobiliser lors de l’intervention à la Maison Franco Japonaise. Sur ces thèmes il a publié en particulier un ouvrage intitulé La famille source de prospérité en 1995 et édité Les enjeux de la démographie européenne en 2001. Il est par ailleurs membre du Comité européen sur la population du Conseil de l’Europe et membre du Conseil de surveillance de la caisse nationale des allocations familiales.

  • Résumé :

    La contribution de la famille au développement économique : l’exemple français

    Parler de richesse à propos de la famille est sans doute évident, c’est surtout trop vaste. Une autre façon, complémentaire, de poser la question est la suivante : dans quelles mesures la famille est facteur de développement (durable) ?

    Pour répondre en spécialiste des sciences économiques et disposer d’un fil directeur, on retiendra trois points :

    1. Quelle richesse ? Cela recouvre la notion de production et pose le problème de la mesure et de la disponibilité d’un indicateur.
    2. Quel rôle la famille joue-t-elle en matière de développement ?
    3. Quels enseignements en tirer en matière de politique économique ?

    Le propos sera illustré d’exemples tirés principalement de la situation française.

* L'accès aux manifestations de l'IFRJ-MFJ est gratuit (sauf mention contraire), mais l'inscription préalable est obligatoire.