Maison Franco-japonaise: 日仏会館 Institut français de recherche sur le Japon à la Maison franco-japonaise (Umifre 19, MEAE-CNRS)

Langue:JA / FR


Agenda

septembre 2013

Paris / Tokyo / Paris :
La réception de la culture japonaise en France depuis 1945

[ Colloque international ]

en français avec traduction simultanée
vendredi 06 septembre 2013 / 9 h 55 - 18 h
auditorium
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Résumé :
Si l’intérêt des artistes, écrivains et cinéastes français d’après-guerre pour le Japon a été d’une grande intensité et variété, il semble qu’il se soit surtout focalisé sur les aspects les plus banals et « insignifiants » de la vie quotidienne nipponne, de L’Empire des signes de Roland Barthes (1970) jusqu’au Tokyo infra-ordinaire de Jacques Roubaud (2005). Nous explorerons ainsi les partis pris esthétiques des « japonistes » contemporains, dont Gérard Macé, Philippe Forest et Michaël Ferrier, qui participeront tous trois au colloque.

Ouverture : Christophe MARQUET (Bureau français de la MFJ)

Conférences plénières :
Michaël FERRIER (univ. Chūō, Tokyo)
Philippe FOREST (univ. de Nantes)
KAWAKAMI Akane (Birkbeck, univ. de Londres, Royaume-Uni)

Intervenants :
Ursula TIDD (univ. de Manchester, Royaume-Uni),
André LAIDLI (univ. Jean Moulin - Lyon 3)
HAYASHI Osamu (univ. de Fukushima)
Lise GUIOT (univ. de Montpellier 3)
Laïli DOR (INALCO)
Emmanuel LOZERAND (INALCO)
Catherine MAYAUX (univ. de Cergy-Pontoise)
Tiphaine LARROQUE (univ. de Strasbourg)
Anne-Gaëlle SALIOT (univ. Duke, États-Unis)
KOMA Kyōko (univ. Mykolas Romeris, Lituanie)
Marc KOBER (univ. Paris 13)
Agnès DISSON (univ. d’Osaka)
Élisabeth CARDONNE-ARLYCK (Vassar College, États-Unis)
CHIBA Fumio (univ. Waseda, Tokyo)
Bruno SIBONA (univ. d’Aberystwyth, Royaume-Uni)
KUWADA Kōhei (univ. des langues étrangères de Tokyo)

Table ronde avec Gérard MACÉ (écrivain et photographe).

Co-organisation :
Fabien Arribert -Narce (JSPS Postdoctoral Fellow, univ. des langues étrangères de Tokyo), Kuwada Kōhei (univ. des langues étrangères de Tokyo), Lucy O’Meara (univ. du Kent, Royaume-Uni), Bureau français de la MFJ.
Soutien : Japan Society for the Promotion of Science, Centre for Modern European Literature, Kent Institute for Advanced Studies in the Humanities (KIASH) de l’univ. du Kent (Royaume-Uni), Japan Foundation Endowment Committee (Royaume-Uni).
Avec le concours de : ambassade de France au Japon/Institut français du Japon, Transcultural Research Institute de l’univ. des langues étrangères de Tokyo.

Programme (PDF) :

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* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

Paris / Tokyo / Paris :
La réception de la culture japonaise en France depuis 1945

[ Colloque international ]

en français avec traduction simultanée
samedi 07 septembre 2013 / 9 h 55 - 18 h
auditorium
07-02_Paris-Tokyo_Paris_posterA2.jpg

Résumé :
Si l’intérêt des artistes, écrivains et cinéastes français d’après-guerre pour le Japon a été d’une grande intensité et variété, il semble qu’il se soit surtout focalisé sur les aspects les plus banals et « insignifiants » de la vie quotidienne nipponne, de L’Empire des signes de Roland Barthes (1970) jusqu’au Tokyo infra-ordinaire de Jacques Roubaud (2005). Nous explorerons ainsi les partis pris esthétiques des « japonistes » contemporains, dont Gérard Macé, Philippe Forest et Michaël Ferrier, qui participeront tous trois au colloque.

Ouverture : Christophe MARQUET (Bureau français de la MFJ)

Conférences plénières :
Michaël FERRIER (univ. Chūō, Tokyo)
Philippe FOREST (univ. de Nantes)
KAWAKAMI Akane (Birkbeck, univ. de Londres, Royaume-Uni)

Intervenants :
Ursula TIDD (univ. de Manchester, Royaume-Uni),
André LAIDLI (univ. Jean Moulin - Lyon 3)
HAYASHI Osamu (univ. de Fukushima)
Lise GUIOT (univ. de Montpellier 3)
Laïli DOR (INALCO)
Emmanuel LOZERAND (INALCO)
Catherine MAYAUX (univ. de Cergy-Pontoise)
Tiphaine LARROQUE (univ. de Strasbourg)
Anne-Gaëlle SALIOT (univ. Duke, États-Unis)
KOMA Kyōko (univ. Mykolas Romeris, Lituanie)
Marc KOBER (univ. Paris 13)
Agnès DISSON (univ. d’Osaka)
Élisabeth CARDONNE-ARLYCK (Vassar College, États-Unis)
CHIBA Fumio (univ. Waseda, Tokyo)
Bruno SIBONA (univ. d’Aberystwyth, Royaume-Uni)
KUWADA Kōhei (univ. des langues étrangères de Tokyo)

Table ronde avec Gérard MACÉ (écrivain et photographe).

Co-organisation :
Fabien Arribert -Narce (JSPS Postdoctoral Fellow, univ. des langues étrangères de Tokyo), Kuwada Kōhei (univ. des langues étrangères de Tokyo), Lucy O’Meara (univ. du Kent, Royaume-Uni), Bureau français de la MFJ.
Soutien : Japan Society for the Promotion of Science, Centre for Modern European Literature, Kent Institute for Advanced Studies in the Humanities (KIASH) de l’univ. du Kent (Royaume-Uni), Japan Foundation Endowment Committee (Royaume-Uni).
Avec le concours de : ambassade de France au Japon/Institut français du Japon, Transcultural Research Institute de l’univ. des langues étrangères de Tokyo.

Programme (PDF) :

 07-02_paristokyoparis_progA3-RV-1_page_1.jpg

* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

Gustave Moreau peintre d'histoire

[ Conférence ]

en français avec traduction simultanée
dimanche 08 septembre 2013 / 14 h - 15 h 30
auditorium
Marie-Cécile FOREST (Directrice du Musée Gustave Moreau)

* Inscription close


Profil :
Marie-Cécile Forest a fait ses études à Lyon. De 1992 à 2001, elle est nommée conservateur au Château et aux Musées de Blois. Elle y est commissaire de nombreuses expositions : Blois, un amphithéâtre sur la Loire en 1994, Jacques Félix Duban, les couleurs de l'architecte en 1996, Auguste Préault, sculpteur romantique en 1997, Turner. Le voyage sur la Loire, François Mansart à Blois, et L'Art et le Crime en 1998, Les Trésors des Médicis en 1999. En 1995, elle publie aux Editions de l'Amateur un ouvrage sur La dinanderie française 1900-1950 en France. La Bourse Focillon lui décernée par le Comité Français d'Histoire de l'Art pour l'année 2000. Elle pourra ainsi étudier à Yale.

Le 1er juin 2001, elle est nommée conservateur au Musée Gustave Moreau à Paris. En avril 2002, elle en devient directrice. Elle est commissaire de nombreuses expositions autour de Gustave Moreau : en 2003 Mythes et Chimères. Aquarelles et dessins secrets du musée Gustave-Moreau au musée de la vie romantique à Paris, en 2004 Paysages de rêve de Gustave Moreau  au monastère royal de Bourg en Bresse et au musée des Beaux-arts de Reims, en 2006 Gustave Moreau Rêves d'Orient à la fondation Mapfre Vida à Madrid. En 2005, elle organise une exposition itinérante Gustave Moreau au Japon (Shimane, Shimane Art Museum, Kobé, Hyogo prefectural Museum, Tokyo, The Bunkamura Museum of Art). En 2007, elle organise la première exposition entre les murs du musée Gustave Moreau, Huysmans Moreau. Féeriques visions. En 2009, elle est commissaire de l'exposition Gustave Moreau. Terre des Mythes au musée des Beaux-arts de Budapest. Elle dirige le Catalogue sommaire des dessins du Musée Gustave Moreau qui paraît aux Editions de la Réunion des Musées nationaux. En 2010, elle est commissaire de l'exposition Gustave Moreau. L'homme aux figures de cire qui se tient au musée Gustave Moreau.

Résumé :
Gustave Moreau (1826 - 1898) a revendique toute sa vie le titre de peintre d'histoire. Il puise en effet les sujets de ses tableaux dans la Bible ou dans la mythologie.
Il invente egalement des sujets qui lui sont propres, comme Les chimeres. A la suite des romantiques, ils revendique l'imagination comme la reine des facultes. Par son oeuvre et par son enseignement a l'ecole des Beaux-Arts a partir de 1892, Gustave Moreau est veritablement un pont entre l'art classique et le XXe siecle. Il dira d'ailleurs a ses eleves : ≪ Je suis un pont, vous passerez ou vous ne passerez pas. ≫

Ouveture : MIURA Atsushi (Société franco-japonaise d'art et d'archéologie)
Introduction : GOTÔ Shinji (univ. Seinan gakuin)
Modérateur : Christophe MARQUET (Bureau français de la MFJ)

Organisation : Fondation de la MFJ, Bureau français de la MFJ, Shiodome Museum
Avec le concours de : Société franco-japonaise d'art et d'archéologie

Conférence payante :
(invitation à l'exposition "Gustave Moreau et Georges Rouault : Filiation" offerte)
Tarif normal : 1000 yens
Tarif étudiants : 500 yens
* Membres de la Fondation MFJ : gratuit


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* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

« Il n’y a pas d’individu au Japon » :
archéologie d’un stéréotype

[ Conférence ]

en français avec traduction
jeudi 12 septembre 2013 / 18 h 30 - 20 h 30
auditorium
Emmanuel LOZERAND (INALCO)
Profil :
Emmanuel Lozerand,  professeur à l’Institut national des langues et civilisations orientales (Paris), s'est spécialisé dans l'étude de la littérature japonaise moderne (en particulier Mori Ôgai, Natsume Sôseki, Masaoka Shiki). Auteur de Les Tourments du nom (Maison franco-japonaise, 1994) et Littérature et génie national (Belles Lettres, 2005), il poursuit des recherches sur la question de l'individu au Japon.

Résumé :
Les stéréotypes ont eux aussi une histoire, et celle du supposé « manque d’individualité des Japonais » demeure à écrire. Quand et comment celui-ci est-il apparu ? Pourquoi a-t-il perduré et insiste-t-il aujourd’hui ?

Ce discours se cristallise, semble-t-il, dans la seconde moitié du xixe siècle, dans le contexte de l’affirmation d’un discours sociologique obsédé par le sentiment de la « perte du lien social » consécutif aux révolutions politiques et économiques de la fin du xviiie et du début du xixe siècle. C’est alors que la dichotomie « individu vs société », éclose dans la pensée contre-révolutionnaire de la première moitié du siècle, prend un essor intellectuel décisif. Les sociétés « autres », « lointaines », vont désormais être perçues dans leur ensemble comme communautaires et traditionnelles, par opposition à la pointe de l’Occident, moderne et individualiste.

Cette conceptualisation se voit renforcée par le développement concomitant des doctrines nationalistes et/ou racialistes, constituées au siècle précédent, essentialistes dans leur principe, attachées à cerner les caractéristiques des différents groupes humains (que leur unité soit raciale ou nationale) et à dresser leur portrait physique et moral. Tout cela, bien sûr, s’orchestre sur fond d’une expansion coloniale dynamique, requise de légitimer son action par un travail idéologique de minor(is)ation des populations mises sous le joug.

D’autres conceptions, plus anciennes, faisaient de « l’Orient » ou de « l’Asie », le monde du passé, de la tradition – et donc de l’absence d’invention, d’originalité (d’où la thématique des peuples imitateurs) – ainsi que du despotisme – et donc de l’absence de liberté, de la servilité naturelle de masses écrasées par des tyrans (d’où la thématique de l’extrême cruauté et de l’indifférence à la mort). Opportunément réactivées, elles viennent s’agréger à ce réseau d’images concordantes. Cela ne concerne d’ailleurs pas uniquement et spécialement le Japon.

Au tournant du xxe siècle néanmoins, quand ce dernier va s’affirmer sur la scène mondiale comme un redoutable concurrent des grandes puissances, il va occuper une place particulière parmi les « autres » de l’Occident, place sans doute partiellement esquissée en creux, il est vrai, au fil des années d’isolement relatif du pays depuis le xviie siècle, puis en relief, grâce à l’avènement du japonisme à partir des années 1870. C’est largement à l’occasion des deux guerres qu’il mena et remporta contre la Chine des Qing, mais surtout contre la Russie tsariste, en 1894-1895 et 1904-1905, que le Japon provoqua un ébranlement des consciences occidentales qui se cristallisa dans les théories du péril jaune. L’altérité japonaise, résistante à l’impérialisme occidental, suscita alors une inflation particulière de caractérisations laudatives ou effrayées, toujours promptes à pointer l’esprit de sacrifice individuel d’un « pays dangereux et farouche, peuplé de petits bonshommes aussi rusés qu’énergiques, qui masquent leur haine par un sourire et leur poignard par un éventail ».

Un peu plus tard, enfin, et avec les meilleures intentions du monde, les théories culturalistes rivaliseront d’ardeur pour souligner la dimension communautaire de la société japonaise, bientôt rejointes, en certaines occasions, par les discours sur la crise du sujet occidental, toujours prompts à trouver dans des ailleurs chimériques de commodes alternatives théoriques.

Quant aux Japonais, ainsi épinglés pour leur absence d’individualité, ils n’ont pu faire autrement que de se positionner par rapport à ce cliché, selon des modalités fort diverses certes, mais contribuant bien souvent eux aussi à le renforcer !

Modérateur : Christophe MARQUET (Bureau français de la MFJ)
Organisation : Bureau français de la MFJ
Soutien : Institut français du Japon

* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

Rencontres franco-japonaises dans le domaine de l’édition :
de la fin d’Edo à l’entre-deux-guerres

[ Colloque franco-japonais ]

en français avec traduction simultanée
samedi 21 septembre 2013 / 11 h - 18 h
auditorium

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Résumé :
A Paris, dans les années 1920, furent publiés plusieurs luxueux livres illustrés qui concernent le Japon. La plupart sont dus à la collaboration du peintre Foujita, qui résidait alors en France. Ses gravures sont particulièrement modernes, dans l'esprit du Paris artistique de l'entre-deux-guerres, et dépassent le simple exotisme. Ces ouvrages sont le fruit de la collaboration étroite entre le peintre japonais et le milieu français de l'édition et des graveurs, mais ils s'appuient aussi sur la connaissance que Foujita avait de la culture éditoriale japonaise.   

Ce colloque traite des « Rencontres franco-japonaises dans le domaine de l'édition, de la fin d'Edo à l'entre-deux-guerres », à travers des interventions de chercheurs d'horizons différents : histoire d'art, histoire éditoriale, littérature japonaise ou encore littérature comparée. Son objectif est d'examiner les influences mutuelles au cours de cette période dans le domaine de la culture éditoriale entre la France et le Japon, autant au niveau de la matérialité des ouvrages (reliure, impression, illustrations, etc.) que de l'économie du livre.

Modérateur : Christophe MARQUET (Bureau français de la MFJ)

Conférence plénière / 11 h 05 - 12 h 15 /
Philippe LE STUM (directeur du Musée départemental breton)
« La gravure sur bois en couleurs en France (1889-1939) : la leçon japonaise »

Communications et table ronde / 13 h 30 - 18 h 00 /
TAKAGI Gen (univ. de Chiba),
IWAKIRI Shin.ichirō (Nitobe Bunka College)
SHIMIZU Isao (Société d'histoire des relations nippo-françaises)
ŌTSUKA Nanae (Bibliothèque nationale de la Diète)
HAYASHI Yōko (Kyoto Univ. of Art & Design)
MASE Yukie (univ. féminine Miyagi gakuin)

Organisation : Bureau français de la MFJ, Kyoto University of Art & Design
Soutien : Grant-in-Aid for Scientific Research C (JSPS)
Avec le concours de : Société franco-japonaise d'art et d'archéologie, The Society for the Study of Japonisme, Société franco-japonaise des bibliothécaires et des documentalistes, Société d'histoire des relations nippo-françaises, Meiji Art Study Society

Programme (PDF)

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Résumé des interventions

* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

Ville et habitat au xxe siècle : Europe et Japon
approches historiques et perspectives d’avenir

[ Colloque ]

en français avec traduction
dimanche 22 septembre 2013 / 10 h 20 - 17 h 30
auditorium
Sympo-Paris-.JPGのサムネール画像

Résumé :
Dans ce colloque, l’évolution des villes et de l’habitat en Angleterre, en France, en Allemagne et au Japon surtout dans la deuxième moitié du 20e siècle sera mise en lumière à l’aide des interventions diverses traitant la reconstruction d’après-guerre, les grands ensembles, les villes nouvelles, l’aménagement du centre-ville, etc. Ces interventions basées sur les études récentes de l’histoire urbaine et de l’histoire architecturale nous permetteront de mieux comprendre la société contemporaine, d’aujourd’hui, en Europe et au Japon. Au-delà, éssayons également de penser la ville et l’habitat dans l’avenir.

Présidents :
TSUBAKI Tatsuya (univ. Chūkyō)
KITAMURA Masafumi (univ. municipale d’Osaka)
NAKANO Takao (univ. Gakushūin)

Intervenants :
NAKANO Takao
Mark CLAPSON (univ. de Westminster)
MOTOUCHI Naoki (univ. Chūbu)
SUZUKI Maho (univ. des femmes du Japon)
Loïc VADELORGE (univ. Paris-Est Marne-la-Valle)
MATSUMOTO Yutaka (univ. de technologie d’Osaka)
HAGAI Masami (univ. d’économie de Tokyo)
Tilman HARLANDER (univ. de Stuttgart)
NAGAYAMA Nodoka (univ. Aoyama gakuin)
SHIRAKAWA Kōichi (univ. métropolitaine de Tokyo)
MINAGAWA Masaki (univ. métropolitaine de Tokyo)
HATSUDA Kōsei (univ. de Tokyo)
YAMAMOTO Michiaki (architecte)
BABA Satoshi (univ. de Tokyo)

Co-organisation :
Société franco-japonaise des sciences historiques
Fondation MFJ, Bureau français de la MFJ
univ. Gakushūin
Grant-in-Aid for Scientific Research B (JSPS)
Soutien :
The Kajima Foundation
Egusa Foundation for International Cooperation in the Social Sciences

Programme

* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

Ville et habitat au xxe siècle : Europe et Japon
approches historiques et perspectives d’avenir

[ Colloque ]

en français avec traduction simultanée
lundi 23 septembre 2013 / 10 h 00 - 17 h 30
auditorium
Sympo-Paris-.JPGのサムネール画像

Résumé :
Dans ce colloque, l’évolution des villes et de l’habitat en Angleterre, en France, en Allemagne et au Japon surtout dans la deuxième moitié du 20e siècle sera mise en lumière à l’aide des interventions diverses traitant la reconstruction d’après-guerre, les grands ensembles, les villes nouvelles, l’aménagement du centre-ville, etc. Ces interventions basées sur les études récentes de l’histoire urbaine et de l’histoire architecturale nous permetteront de mieux comprendre la société contemporaine, d’aujourd’hui, en Europe et au Japon. Au-delà, éssayons également de penser la ville et l’habitat dans l’avenir.

Présidents :
TSUBAKI Tatsuya (univ. Chūkyō)
KITAMURA Masafumi (univ. municipale d’Osaka)
NAKANO Takao (univ. Gakushūin)

Intervenants :
NAKANO Takao
Mark CLAPSON (univ. de Westminster)
MOTOUCHI Naoki (univ. Chūbu)
SUZUKI Maho (univ. des femmes du Japon)
Loïc VADELORGE (univ. Paris-Est Marne-la-Valle)
MATSUMOTO Yutaka (univ. de technologie d’Osaka)
HAGAI Masami (univ. d’économie de Tokyo)
Tilman HARLANDER (univ. de Stuttgart)
NAGAYAMA Nodoka (univ. Aoyama gakuin)
SHIRAKAWA Kōichi (univ. métropolitaine de Tokyo)
MINAGAWA Masaki (univ. métropolitaine de Tokyo)
HATSUDA Kōsei (univ. de Tokyo)
YAMAMOTO Michiaki (architecte)
BABA Satoshi (univ. de Tokyo)

Co-organisation :
Société franco-japonaise des sciences historiques
Fondation MFJ, Bureau français de la MFJ
univ. Gakushūin
Grant-in-Aid for Scientific Research B (JSPS)
Soutien :
The Kajima Foundation
Egusa Foundation for International Cooperation in the Social Sciences

Programme

* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

Chinese Civil Law

[ Workshop ]

en anglais sans traduction
jeudi 26 septembre 2013 / 9 h 30 - 17 h
salle 601
Participants :
Jérôme BOURGON (CNRS, France)
CH’IU Peng-sheng (Chinese Univ. of Hong Kong)
Maura DYKSTRA (Univ. of California, Los Angeles)
David FAURE (Chinese Univ. of Hong Kong)
Luca GABBIANI (EFEO, Beijing)
KISHIMOTO Mio (Ochanomizu Univ.)
MATSUBARA Kentarō (The Univ. of Tokyo)
TAKAMIZAWA Osamu (The Univ. of Tokyo)

Résumé :
This workshop intends to reach a new level of understanding with regard to the “civil” aspects of traditional Chinese law, in the first instance by sharply focusing on the exact textual interpretation of particular Chinese sources whose significance has not been fully brought out, and then by closely analysing the manifold layers of social organisation that informed the formation and functioning of these texts.

 Historiography of Chinese traditional law has been developing steadily in the last decades, in China itself as well as abroad. Building partly upon the Japanese tradition of historical legal studies of China (Niida Noboru, Shiga Shûzo among others), specialists worldwide have increasingly shed light on the sophistication of imperial China’s legal build-up, whose roots can be traced back to the Han dynasty at least. An important focus of this research work has been the late imperial period (the Ming and Qing dynasties), where the vast amount of preserved administrative and juridical resources could be drawn on. These resources include the two dynasties’ administrative and legal codes, a host of printed or manuscript works on what could be termed as “legal knowledge” and the large array of archival data dealing either with the legislative process itself or with the actual enforcement of justice by the officials of the imperial bureaucracy, all through its various hierarchical levels. Through the analysis of these texts, scholars have paid particular attention to the articulation between the state apparatus, its legal superstructure and the practices in local society. This in turn has led to debates concerning the complex issues involving “civil” cases and “civil law” more generally. If it is today undeniable that a large part of the judicial activities of Chinese local administrators were precisely related to what can be termed as “civil suits”, the question of whether the Chinese legal tradition ever developed notions and principles of civil law sui generis before its encounter with the modern legal framework remains the topic of heated debates.

While a number of factors may have contributed to these issues remaining largely unresolved, this workshop takes issue with one in particular. There has not been enough analysis of the content of each type of text, and of their social significance that would be necessary for a meaningful overt comparison with other legal traditions. Although scholars have long known the basic nature and functions of the variety of texts that formed the legal literature of late imperial times, few have combined a close reading of one or more of these texts with an analysis of the social dynamics that informed them, perhaps with such notable exceptions as Terada Hiroaki’s detailed analysis of the legal control of dian transactions during the mid-Qing period and Tanii Yoko’s study of the Hubu Zeli.
 
Thus the intended workshop will focus primarily on the exact textual content of Chinese sources, and consider what elements can be extracted from them in order to shed light on the social formation of the time, involving such dimensions as property regimes and property rights, contractual practices and written understandings, succession and family law, commercial ventures, etc.

Organization :
Bureau français de la MFJ
The University of Tokyo
EFEO (Beijing Centre)

* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

Chinese Civil Law

[ Workshop ]

en anglais sans traduction
vendredi 27 septembre 2013 / 10 h - 16 h
salle 601
Participants :
Jérôme BOURGON (CNRS, France)
CH'IU Peng-sheng (Chinese Univ. of Hong Kong)
Maura DYKSTRA (Univ. of California, Los Angeles)
David FAURE (Chinese Univ. of Hong Kong)
Luca GABBIANI (EFEO, Beijing)
KISHIMOTO Mio (Ochanomizu Univ.)
MATSUBARA Kentarō (The Univ. of Tokyo)
TAKAMIZAWA Osamu (The Univ. of Tokyo)

Résumé :
This workshop intends to reach a new level of understanding with regard to the "civil" aspects of traditional Chinese law, in the first instance by sharply focusing on the exact textual interpretation of particular Chinese sources whose significance has not been fully brought out, and then by closely analysing the manifold layers of social organisation that informed the formation and functioning of these texts.

 Historiography of Chinese traditional law has been developing steadily in the last decades, in China itself as well as abroad. Building partly upon the Japanese tradition of historical legal studies of China (Niida Noboru, Shiga Shûzo among others), specialists worldwide have increasingly shed light on the sophistication of imperial China's legal build-up, whose roots can be traced back to the Han dynasty at least. An important focus of this research work has been the late imperial period (the Ming and Qing dynasties), where the vast amount of preserved administrative and juridical resources could be drawn on. These resources include the two dynasties' administrative and legal codes, a host of printed or manuscript works on what could be termed as "legal knowledge" and the large array of archival data dealing either with the legislative process itself or with the actual enforcement of justice by the officials of the imperial bureaucracy, all through its various hierarchical levels. Through the analysis of these texts, scholars have paid particular attention to the articulation between the state apparatus, its legal superstructure and the practices in local society. This in turn has led to debates concerning the complex issues involving "civil" cases and "civil law" more generally. If it is today undeniable that a large part of the judicial activities of Chinese local administrators were precisely related to what can be termed as "civil suits", the question of whether the Chinese legal tradition ever developed notions and principles of civil law sui generis before its encounter with the modern legal framework remains the topic of heated debates.

While a number of factors may have contributed to these issues remaining largely unresolved, this workshop takes issue with one in particular. There has not been enough analysis of the content of each type of text, and of their social significance that would be necessary for a meaningful overt comparison with other legal traditions. Although scholars have long known the basic nature and functions of the variety of texts that formed the legal literature of late imperial times, few have combined a close reading of one or more of these texts with an analysis of the social dynamics that informed them, perhaps with such notable exceptions as Terada Hiroaki's detailed analysis of the legal control of dian transactions during the mid-Qing period and Tanii Yoko's study of the Hubu Zeli.
 
Thus the intended workshop will focus primarily on the exact textual content of Chinese sources, and consider what elements can be extracted from them in order to shed light on the social formation of the time, involving such dimensions as property regimes and property rights, contractual practices and written understandings, succession and family law, commercial ventures, etc.

Organization :
Bureau français de la MFJ
The University of Tokyo
EFEO (Beijing Centre)

* À l'exception des séminaires fermés de recherche ou des événements exceptionnels requérant une inscription payante, l'accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit. Prière de vous inscrire.

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